TEDx : « La vie, c’est comme une boîte de chocolats… »

"... on ne sait jamais sur quoi on va tomber". Cette réplique est extraite du film Forrest Gump, Et j'ai toujours pensé que ça signifiait qu'il pouvait nous arriver des choses formidables pour peu qu'on prenne la peine d'être à l'écoute. Et bien vendredi 20 janvier, en quittant le musée Fabre de Montpellier, j'étais dans cet état d'esprit, mieux même, je me sentais sur un petit nuage, comme si j'avais savouré des chocolats aux goûts totalement inédits, mais là ce n'était pas mes papilles qui étaient en effervescence mais mon cerveau, ma conscience et aussi... mon coeur. Cécile Courtais

Mais qui a peur de la seconde ligne de front ? Taïaut, que diable !

Avec le lancement de la campagne électorale en France, on voit ressurgir l’inévitable vocabulaire guerriers et les matamors qui montent au créneau, drapés dans leur verbe éphémère. Pourtant, ce sont rarement des charges pour enfoncer les lignes ennemies et en arracher le drapeau, non, ce sont bien souvent des gesticulations devant la ligne de front. Faudrait-il donc vraiment avoir peur de la seconde ligne de front, celle qui est décisive ? L'article de Philippe de Casabianca

France Soir, le premier journal 100% web, a tenté de reprendre le souffle de son histoire

« Oui Monsieur, c’est la dernière édition papier ! » L’annonce fait sensation. France Soir, le journal qui a marqué d’une empreinte indélébile l’histoire de la presse en France, abandonne le support papier. C’est le bon sens qui l’emporte avec cette décision comme Francis Benett l’avait expliqué en mars dernier dans l’article : « Le Blog est l’Avenir de la Presse ! » Que je vous invite à lire ou relire ! Prophétique ? Non, l’analyse était simplement pertinente. Est-ce que cela suffira à relancer France Soir ? Et les autres titres de la presse suivront-ils cet exemple ? Pour mieux s’interroger sur le futur, remontons le temps. L'article de Denis Gentile

La vérité si je mens ou si je buzze ?

Saint Net, priez pour nous! Aujourd'hui, ce n'est plus la frontière des Pyrénées comme le déplorait Pascal qui peut servir de variable de la vérité. Non, aujourd’hui, c’est internet la vérité, c’est internet l’évangile de notre société. Vérité peut-être parce qu’on y trouve de l’information, une forme aussi d’un des sens. Vérité plus probablement parce que tant de gens qui y sont à se prélasser, s’exciter ou surfer ne peuvent tout de même pas être dans l’erreur. A la base de la vérité moderne, beaucoup de buzz, donc. L'article de Philippe de Casabianca