C'est la question que je me pose en lisant les 29 articles participant au concours "VOTEZ POUR MON ARTICLE" organisé par Cédric Vimeux sur le blog VIRTUOSE MARKETING.
Si vous lisez l’abondante littérature sur le Community Management, vous apprendrez qu’un Community Manager A.O.C. n’a plus de vie privée ! En effet, il doit être actif et en veille. Rien ne doit lui échapper sur Twitter, Facebook, Viadeo, LinkedIn, Scoop It, les blogs communautaires et pour ne rien gâcher, on vient de lui ajouter un nouveau joujou : Google + !
Pourquoi parler de fantôme ? Cela ne fait pas très sérieux ! Alors je préfère vous demander immédiatement : Etes-vous certain de vouloir lire cet article ? Cette question est légitime, même si elle ne représente pas la meilleure publicité pour mon article. Mais, j’insiste, elle est essentielle et vous devez absolument vous la poser. Pourquoi ? C’est l’objet justement, non seulement de cet article, mais aussi de cette édition d'été de notre blog.
L'article de Denis Gentile
Avez-vous déjà reçu un courrier suite à une réclamation ou à une réservation ? Et comment s’appelait la personne qui a signé cette lettre ? Il y a de fortes chances que son nom fut Claude Martin ! Mais si Claude Martin voulait ouvrir un compte sur Google+, il ou elle pourrait être désactivé(e) ! Explications.
Le métier de Community Manager est vieux comme le monde. Et s’il tombe dans l’excès, il serait même comparable au plus vieux métier du monde. Pour mieux comprendre ce qu’est vraiment un Community Manager, j'ai pioché des exemples dans mon univers. Je vous en livre 3 interprétations personnelles et mon classement (subjectif) des 3 plus grands Community Managers, avant l’âge des réseaux sociaux !
L'envie d'écrire va de pair avec l'envie de lire. Et j'aimerais vous donner envie de lire un bouquin. Un roman. Un roman étonnant. Comme son titre : WEBOPATHE. Ce roman a pour protagoniste les réseaux sociaux et Fanny, une community manager. Comment vous donner envie de lire ce roman ? A ma façon : en mettant en scène le personnage et l'écrivain, Amélie Broutin.
L'article de Denis Gentile