Faut-il bien écrire pour se faire comprendre ?

Florence Augustine poursuit l'analyse de l'usage du français à l'ère du web 2.0. "Faut-il bien écrire pour se faire comprendre ?" est le troisième article de cette série sous forme d'interrogations après "Faut-il réformer la langue française ?" et "Va-t-on vers une paupérisation du niveau de langue (des générations à venir) ?" Pour lier cet article à notre précédent dossier, nous pourrions aussi nous demander : "L'orthographe est-elle matière à opinion ?"

Faut-il réformer la langue française ?

La dernière réforme date de 1990, il y a déjà plus de 20 ans. A l'échelle du web 2.0, cela représente des siècles ! Aujourd'hui, grâce au web, l'écrit est plus vivant que jamais. Pourtant, cette activité incessante a mis à mal l'état de l'orthographe. Deux constations qui méritent réflexion. Mais est-ce vraiment d'une réforme de l'orthographe dont nous avons besoin ? L'article de Florence Augustine

TOP 5 : Les 5 conseils en orthographe et grammaire à donner aux blogueurs

Mon conseil préféré n'est pas une règle de grammaire. Quel est-il ? "Vous pouvez également relire votre texte à voix haute, on “entend” souvent mieux les fautes qu’on ne les voit." Je vous invite à découvrir les autres conseils d'une experte en orthographe. Et vous, auriez-vous des conseils à nous donner ou des questions à nous poser ? L'article de Florence Augustine

LA CORRECTION : Une activité indissociable de toute forme d’écriture

Les premières « fautes » furent commises dès que l’écriture commença à respecter des conventions, à avoir des « règles », liées à la langue qu’elle transcrivait et aux graphies. Le problème de l'orthographe et le métier de correcteur sont donc très anciens. Quelle est la place du correcteur aujourd'hui ? N'est-il pas un métier en voie de disparition ? L'enquête et l'article de Florence Augustine.

La langue française : Facteur d’intégration mais aussi d’exclusion

Rédactrice et correctrice, Florence Augustine, qui a rejoint notre équipe, a réuni de nombreux témoignages sur l'utilisation de la langue française dans les réseaux sociaux. On s'aperçoit que l'orthographe passe souvent au second plan. Pourtant, qui achèterait une voiture sans frein ? La langue devient aussi un instrument d'exclusion, notamment dans le monde du travail, pour ceux qui ne la maîtrise pas.